[RP Perso] *Titre à venir*

Chapitre 1: La genèse.

C’était la première fois qu’elle le voyait et pourtant elle n’en avait pas peur. Cependant une foule de questions trottait dans sa tête à son sujet et à propos de sa présence. Qui était-il vraiment et pourquoi était-il là ? Elle s’apprêtait à le lui demander lorsqu’il dit :

- « Des centaines d’années après le puissant sort que Chaos lança sur l’ensemble des Anathois, les neufs conseillés qui avaient eues le privilège de garder la mémoire et de régner aux côtés de Chaos lui-même, créèrent pour les aider à leur tour dans leurs tâches, une multitude de dieux mineurs.
L’ensemble des territoires de Thessalie vécut dans la paix et dans l’harmonie, permettant la réhabilitation progressive des hommes dénués de pouvoirs, aussi appelés Barbare lors de la « Grande Guerre.». Mais l’avenir du monde était appelé à changer, à être bouleverser par un épisode qui ne pourrait être oublié : La fissure.
Cet instant est celui où les Dieux mineurs créèrent leur propre panthéon, se donnant ainsi un titre hiérarchique égale à celui des neufs conseillés. Les dieux mineurs se mirent à dédaigner les hommes, les neufs conseillés et Chaos lui-même, croyant qu’ils pourraient éternellement vivre dans la luxure, le luxe, la paresse et les richesses que leur permettait l’étendue de leurs pouvoirs.

D’un côté, Chaos et ses conseillés oublièrent ces dieux qui ne servaient plus à rien, tandis que les races mortelles ne virent pas cette paresse et ce délaissement des postes divins (1) qui écoutaient jadis leurs prièrent du même œil.
Les anciens barbares, les elfes, les orques, les atlants et autre sraces préparèrent leurs armes pour se battre face aux dieux mineurs, qui ne pouvaient malheureusement pas pour eux, utiliser leurs pouvoirs contre les humains.
Les dieux mineurs décidèrent donc de créer une armée d’ange qui serait leur bras armé et c’est ainsi que les créatures célestes apparurent.

Ils s’en suivirent des millénaires de guerres entre les anges qui protégeaient les dieux et les hommes. Pendant ces millénaires, il arriva plusieurs incidents, comme la séparation d'une partie des Anges qui à l'odeur du sang, devenaient des vrais bêtes. Ces anges se firent bannir et rejoignirent les Entités Abyssales.


Ces puissants anges déchus commencèrent peu à peu à gérer les profondeurs Abyssale en performant au fil du temps leurs pouvoirs. Nommés plus tard par les hommes et les anges comme "les démons supérieurs", ils restèrent en dehors des conflits opposant le royaume céleste et la terre. Ils profitaient du fait que les deux camps s'affaiblissaient pour faire ici et là sur terre des pactes avec les humains, qui devinrent de plus en plus nombreux à les vénérer pour recevoir de l'or, la vie éternelle, une armée, etc...

Devant la cupidité sans fin des hommes, les démons supérieurs commencèrent à penser que certains d'entre eux étaient dignes de cruauté pour pouvoir les rejoindre ou les aider dans leur tâche.

Et c’est ainsi que petit à petit les démons commencèrent à apprécier la compagnie de certains humains… »

Pas un instant il ne s’était arrêté et avait répondu à toutes les question qu’elle s’était posée. Mais une persistait et elle n’hésita pas un instant à la lui demander :

- « Mais quel est ton nom ? »

- « Arhaso. », répondit –il, puis il disparu dans un écran de fumée.

PS: Premier poste un peu lourd, puisqu'il est purement historique

Chapitre 2: Une règle bafouée.

L’astre du jour était sur le point de s’éclipser pour aller se coucher et laisser sa place de maître des hautes sphères célestes à sa cousine la lune qui faisait déjà apercevoir quelques bribes de sa surface argentée. Bien que tous deux étaient les maîtres des cieux, c’est durant la nuit, sous le regard brillant de la lune que depuis la nuit des temps s’opérait le mal.
A peine la lumière du jour eut elle totalement disparue que, comme chaque vendredi, un épais nuage de fumées noirs et rouges sentant le souffre fit apparition dans la chambre du compte sous les yeux, que trop habitués à cette scène, de la comtesse. Peu à peu la fumée se dissipa laissant apparaître le démon Arhaso. Elle se jeta dans les bras du démon lui disant :

- « Arhaso je t’aime. Je ne peux me cacher la vérité, à force de passer du temps avec toi, je suis tombée amoureuse. »

- « Elliana, tu sais très bien que ce n’est pas possible. On ne peut pas… »

Alors qu’il la regardait droit dans les yeux, il détourna son regard et regarda le sol. C’était une marque de faiblesse, cette femme le touchait et c’était bien là une exception pour son espèce. Mais relevant lentement son visage, il ne put se cacher les magnifiques formes de la jeune femme qui se marquaient au travers de sa chemise de nuit, puis il y eu ses yeux, avec ces pupilles qui brillaient à l’égal de la lune. Il pensa un instant à tous les moments passés avec Elliana et ne put retenir cette vague de sensation nouvelle. Il souleva la jeune comtesse et la coucha sur le lit du conte qui avait du laisser sa femme seul ce soir là pour une partie de chasse. Bien que ce qu’il faisait était à l’encontre de sa nature, certains gestes un peu brusques restaient instinctifs, c’est pourquoi Arhaso déchira violement la chemise de nuit. Ensuite il devint doux, prit dans la tornade incontrôlable de ses sentiments, et il fit l’amour à la jeune comtesse comme elle ne l’avait jamais fait : poussé par une délirante passion et un brasier brûlant sous la chaleur de leurs corps collés l’un à l’autre.



De l’autre côté de Thessalie, au même instant, un autre amour interdit allait donner naissance à l’un de ces êtres que l’on nomme Ishim… (1)

(1) Lien Valou et explication

Chapitre 3: Naissance de l'enfant..

Des oiseaux perchés sur un balcons s’envolèrent à l’entende d’un cris provenant d’une des chambres du château. Dans la pièce en question, de nombreuses femmes en robes blanches entouraient celle qui d’ici peu mettrait au monde l’enfant. Marchant de part et d’autre de la pièce, le comte d'Aristia, le dénommé Taregh, attendait avec impatience que son fils apparaisse d’entre les deux cuisses grandes ouvertes de sa femme. Il ne pouvait plus attendre, l’impatience rongeait depuis plusieurs mois toutes ses pensées, il allait enfin avoir un héritier. Il se rappelait la sensation inattendue qui avait d’un coup avalé son corps lorsque sa femme lui avait appris la nouvelle. A présent il s’imaginait le futur, il voyait déjà son fils, grand, beau et fier sur un cheval à la tête de son royaume qui serait bien plus vaste qu’aujourd’hui. C’est alors que coupant libre cours à ses rêveries de gloires, une des femmes en blanc s’approcha de lui et lui dit :

- « Sieur, l’enfant arrive… »

Il ne fallut pas un mot de plus pour que le comte s’encoure en direction de sa femme. Il s’assit à côté d’elle et lui prit la main, essayant de lui donner la force nécessaire pour terminer ce qui avait été commencé.
Après de longs instants d’efforts, le nouveau né fut enfin à l’air libre et fut confié aux sages femmes. Certaines restèrent pour prendre soin de la mère qui pouvait se reposer alors que d’autres emmenaient l’enfant pour lui donner les premiers soins.
Il fallut près d’une heure avant que l’on présente enfin l’enfant à ses parents. Tendant ses bras envers l’infirmière, le comte montrait clairement qu’il voulait le prendre dans ses bras. Une fois que ce fut le cas, il ne put faire abstraction de ce qu’il voyait et se mit à dire à haute voix :

- « Mon Dieu qu’ai-je fais pour que mon enfant ne sois pas normal ? Mais quoi qu’il arrive je l’élèverai et le porterai dans mon cœur car c’est mon fils. Je ne désire même pas de réponse, je ferai comme si il était comme tous les autres petits garçons. »

La mère s’inquiéta et s’imagina des choses les plus terribles les unes que les autres. °-° Est-il si inhumain que ça ? Ressemble-il à un démon ? °-°, se disait-elle. Mais elle fut soulager en voyant l’enfant que son mari venait de lui apporter, qui n’avait comme différence que les yeux qui étaient d’un rouge vif.

Soulagée, elle reposa sa tête sur un des oreillers du lit et s’assoupit, sachant que son mari qui était un homme doux et bon s’en occuperais merveilleusement.

Chapitre 5: Le prix à payer.


Arhaso marchait entre les roses et les belles de nuits suivant le chemin de terre qui menait à la sortie des jardins du palais. Tout à coup, une brume noir se leva, arrivant jusqu’aux genoux du père de Syndael. Six hommes encapuchonnés apparues autour de lui formant un cercle. Un long instant rien ne se passât, laissant un silence oppressant envelopper tous ceux présents de son voile qui faisait monter la tension. Enfin celui-ci fut brisé par une voix que Arhaso ne réussi pas à localiser:

- « Arhaso… Tu me déçois… »

°-°Cette voix ? Qui est-ce ? Ce n’est comme même pas lui ?°-° Puis Arhaso eut la confirmation de ses pensées. Devant lui, celui qui portait une des capes noires la retira, laissant apparaître le corps d’un démon. Le démon en question était beau, puissant, il avait des longs cheveux blancs et une couronne en Or incrustés de cristaux de lave sur la tête. Arhaso s’agenouilla devant le démon et lui dit la tête vers le bas :

- « Mon roi, que faites-vous ici ? »

Le roi parut hésiter, et fini par dire :

- « Je suis venu te tuer pour trahison de nos règles et de nos coutumes. »

Arhaso se releva et ne sembla aucunement surpris de cette destinée que le démon lui réservait. Il plongea son regard dans celui de l’autre démon et comme un éclair il lança deux boules de feu sur les adversaires qui se trouvaient dans son dos, les brûlant immédiatement. Il bondit sur son adversaire de droite le ruant de coup de poings tandis qu’un autre démon s’approchait avec une épée pour lui trancher la gorge. Alors que la lame s’abattait sur lui, il se dégagea laissant l’autre pourfendre celui qui était au sol. Il mit le feu à celui qui avait la dague et se rua sur celui qui était à droite du roi des démons. Mais le roi s’interposa en plantant sa lourde épée dans le ventre d’Arhaso. Il tomba au sol et dit :

- « Merci, de m’avoir tué de vos propres mains. »

Et il mourut. L'être des enfers survivant qui était à côté du roi des démons demanda :

- « Mon roi, pourquoi êtes-vous venu le tuer de votre propre personne? »

- « Arkhanis… Le démon que tu vois à mes pieds, était sans doute le plus fort d’entre nous et jadis le plus dévoué des vassaux. Je me devais donc de lui faire cet honneur. »

Ils disparurent alors dans un écran de fumée, laissant derrière eux trois cadavres carbonisés, un qui avait encore une dague dans le ventre, et Arhaso dont le corps était devenu bien plus froid que la glace.



A la fenêtre de sa chambre, Elliana aperçut le feu dans la nuit et les lames resplendir sous l’éclat de la lune. Elle comprit rapidement qu’Arhaso se faisait attaqué, mais ne pouvait rien faire pour l’aider. Lorsque toutes les silhouettes disparurent, son cœur se serra et elle eut cette étrange impression qui lui dicta que son aimé était mort. Elle pleura dans le plus profond silence, sans bouger de cette chaise, avant de s’écrouler de fatigue…

Chapitre 6: La mère protectrice.


Ils chevauchaient comme des ombres, indétectables, ne pouvant être arrêtés, en un groupe compact en direction du château du comte d’'Aristia.. Tout leur corps était caché par des pièces de tissus de diverses couleurs. Durant le temps qu'il leur restait jusqu'au plais, ils se remémorèrent tous la lettre reçue:

« Mesdames, Messieurs,

Je vous demande de venir me rejoindre au plus vite.

Cordialement,
Comtesse d’'Aristia. »

Courte, intrigante, cela avait suffit à ce que l’ensemble des membres de leur caste se déplace au sujet de cette lettre. Les voila qu’ils passaient sans un mot le pont-levis du château. Ils se placèrent en cercle autour de la grande coure du château et descendirent de scelle. Dévalant les escaliers dans sa robe de soie rouge, Elliana arriva dans sur la place pour s’adresser à ses invités.

- « Bienvenue à vous Mages de l’ordre d’Illiendir… »

- « Madame, », la coupa un des mages qui semblait être le plus expérimenté, « Nous sommes pressés, alors veuillez ne pas perdre de temps et nous dire le pourquoi de ces invitations en urgence. »

- « Bien, vous avez raison, au plus tôt ce sera fait au mieux ce sera. »

Elle se retourna et remonta les marches qui menaient à l’entrée du fort. Tous les mages la suivirent sans un mot et franchirent pierres après pierres, les cents marches qui débouchaient ou la dame de ces lieux les menaient. La comtesse s’assit sur le trône qui siégeait dans le fond de la salle et attendit patiemment que ses invités soient plus proches. Lorsque les mages se furent tous assis par terre selon leur coutume, Elliana prit la parole :

- « Messieurs, mesdames, mages,
Je vais être directe. Je souhaite que vous mettiez en place autour du domaine de mon aimé, un bouclier d’énergie qui repoussera toute présence démoniaque. »

- « Comtesse, vous savez que c’est un ouvrage dangereux. Que nous donneriez vous en échange ? »

La comtesse sourit, elle avait prévu cela. Tous les hommes sans exception étaient donc bien attirés par l’or. Elle répondit bien sûr d’elle :

- « Vous recevrez tous mille pièce d’or. »

Nombreux furent ceux qui ouvrirent grand les yeux et des murmures parcourent les rangs des hommes de magie. Le maître du groupe leva la main pour que le silence revienne et répondit :

- « Madame, votre barrière magique sera en fonction dès ce soir. »

Elle fit signe qu’ils pouvaient se retirer pour aller travailler et ils exécutèrent.
Alors qu’ils quittaient la pièce, Elliana monta dans ses appartements. La pièce était magnifiquement décorée, ornée de statues, de gravures d’or, de peintures et de pièces de tissus choisie avec goût. Elle alla s’assoire sur la chaise du balcon et observa un instant les mages commencer leur office. Ensuite elle retourna à l’intérieur et prit son fils dans ses bras. Quelques larmes perlèrent au coin des yeux de la comtesse et s’écoulèrent lentement le long de ses joues. Cela faisait une semaine qu’Arhaso était mort et elle n’avait toujours pas récupéré, mais elle faisait tout son possible pour protéger son fils, tout ce qui lui restait. Alors qu’elle essuyait son visage du revers de sa main elle dit à son fils :

- « Je te protégerai à défaut de n’avoir pas pu sauver ton père. Je t’aime mon petit Syndael… »

Elle redéposa l’enfant dans son lit et partit observer le travail des magiciens après s’être essuyé le visage, car elle devait paraître forte, elle ne devait en aucunement sembler faiblir.

PS: la suite devrai apparaitre dans la journée.

Premier post, premier paragraphe:

Citation :

l’étendue de leurs pouvoirs éternellement.

Tu dois plutôt dire "l'étendue de leurs pouvoirs éternelles"

4ème post, premier paragraphe:

Citation :

Elle sortit par une petite porte de bois qui
menait dans un couloir secondaire où aucun garde ne montait jamais la
garde et alluma une lampe à l’huile qui était pendue à un crochet. Elle
détacha la lampe et partit vers la droite, éclairant les couloirs
sombres du palais. Elle arriva à une porte minuscule qui donnait de
l’autre côté sur les jardins de la demeure, immédiatement deux légers
coups se firent entendre et la comtesse tourna la poignée, laissant une
silhouette sombre emmitouflée dans une cape noir entrer.

Attention Syndael, veille à ne pas te répéter. Le pronom "ELLE" doit être utilisé pour éviter les répétitions, mais il ne faut pas en abusé! Ainsi mettre e nom de la femme ne serait pas mal. De plus tu commences toujours tes phrases par "Elle patatit patata", c'est redondant. Exemple pour éviter cela: "Arrivant à une porte minuscule qui donnait de l’autre côté sur les jardins de la demeure, la jeune femme (un autre substitue à "Elle" ou à Elliana)..."! Une dernière chose, veille à mettre les mots dans un bon ordre grammatical: "laissant une silhouette sombre emmitouflée dans une cape noir entrer." [FAUX. Correction: "laissant entrer une silhouette sombre emmitouflée dans une cape noir"]. Le français n'est pas le latin, il y a un ordre grammatical à respecter, ne l'oublie pas

5ème post, Premier paragraphe (décidement ^^)

Citation :

Enfin celui-ci fut brisé par une voix que Arhaso ne réussi pas à localiser celui qui parlait

Enfin celui-ci [le silence] fut brisé par une voix qu'Arhaso ne réussit pas à localiser. [Pourquoi rajoutez "celui qui parlait"? ^^]

Pour le premier poste, je me suis pas trompé sur le mot, mais sur sa place dans la pharse...


RECTIFIé